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Mémento des principaux mouvements politiques collaborationnistes
sous Vichy.
- PPF : Parti Populaire
Français (Jacques Doriot) - organe de presse: "Le Cri du Peuple de
Paris"
- MSR : Mouvement Social Révolutionnaire (Eugène
Deloncle)
- CSAR : Comité Secret d'Action
Révolutionnaire - appelé par dérision "La Cagoule". - organe de presse:
"La Vie nationale".
- RNP : Rassemblement National
Populaire (Marcel Déat) - organe de presse: "L'Oeuvre".
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La Parti franciste (Marcel Bucard) - organe de presse:
"Le Francisme".
- PFNC : Parti Français National
Collectiviste (Pierre Clementi) - organe de presse: "Le Pays
Libre".
- La Ligue française (Pierre Constantini) -
organe de presse: "L'Appel".
- Le Front franc
(Jean Boissel) - organe de presse: "Le Réveil du Peuple".
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Le Feu (Maurice Delaunnay) - organe de presse: "La
Tempête".
- Le Groupe Collaboration (Alphonse de
Châteaubriant) - organe de presse: "La Gerbe".
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- | (1898-1945). Député communiste en 1922, Secrétaire général de la Fédération françaises des Jeunesses Communistes en 1923, maire de St-Denis en 1930, Jacques Doriot est exclu du Parti Communiste en 1934 pour avoir pratiqué une politique unitaire avec les socialistes.
En 1936, il fonde le PPF (Parti Populaire Français) d'inspiration nationaliste, fasciste et anticommuniste. Pendant la guerre, Doriot et son parti préconise une politique de collaboration avec l'Allemagne. En septembre 1941, il s'engage dans la LVF (Légion des Volontaires Français) et combat sur le front de l'Est sous l'uniforme allemand. Le 22 février 1945, il est tué dans sa voiture, mitraillée sur une route allemande par un avion.
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- | Dirigeant d'un "Gau", district administratif du Reich.
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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USA - United States of America - USA |
- | Les Etats-Unis d'Amérique. Quelques auteurs francophiles irréductibles préfèrent utiliser EU (Etats-Unis) ou EUA (Etats-Unis d'Amérique).
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Dans ce texte : La bombe atomique, les Nazis et les Collabos. de Serge Desbois le dimanche 28 novembre 2010 à 09h57 Les Nazis, selon un historien ou prétendu tel, Rainer Karlsch, ont été proches de découvrir la bombe atomique (A) dans les quelques mois qui ont précédé le 6 mai 1945.
Il ajoute comme preuve une curieuse expérience faîte le 3 ou 4 mars 1945 au sud de Berlin au camp de Ohrdurf où 7 prisonniers russes ont péri et un seul a survécu, un nommé Oleg brûlé sur une partie de son corps
Un journaliste italien envoyé par Mussolini, a dit qu’une étrange explosion expérimentale avait eu lieu sur l’île de Rügen sur la Baltique.
Les travaux du physicien Werner Husenberg à Leipsig puis à Berlin, à l’Institut Kaiser Wilhelm était bien avancé dit-on.
Hitler lui-même a parlé de bombe atomique à Antonescu, chef de l’État roumain en août 1944.
Il y a dans les derniers mois de la guerre tout une « aura popularis (c’est dans le dictionnaire) chez les plus durs des Nazis et aussi certains Français comme Déat, JH Paquis, Doriot et quelques autres incorrigibles de la collaboration, qui pensent que l’Allemagne ne peut pas perdre et que, bien-sûr, Hitler dans un sursaut va exterminer les Alliés, certes on ne sait pas comment.
Or la plupart des physiciens du monde entier savait bien avant 1945 comment faire une bombe atomique, y compris les Français ( Joliot-Curie, Halban, Kowarsky et d’autres). Il n’y avait pas que le Pr. Husenberg.
Pour faire une seule bombe atomique, pour atteindre la masse critique, il faut 50 Kg d’uranium enrichi ou 10 kg de plutonium minimum pour 1 bombe. Or les Allemands n’en avaient que quelques grammes comme certains labos dans le monde. Et il leur fallait des années pour atteindre ce potentiel comme les autres.
Pour obtenir ces Kg d’uranium enrichi, il a fallu qu’aux U.S.A pendant 2 ans travaillent 15 000 ouvriers et ingénieurs de 1943 à 1945. Il faut des installations considérables. Personne n’a trouvé de telles installations en Allemagne en mai 1945.
Certes dans les années qui ont suivi, les procédés qui ont permis de fabriquer de l’uranium enrichi ont été améliorés et donc le personnel fut beaucoup moins nombreux, comme en France ou il se chiffre tout de même par milliers dans plusieurs installations.
L’Institut allemand en 1945 n’avait que 200 techniciens et ne pouvait rien faire avec ces quelques grammes même s’ils avaient été un millier.
Ceci n’empêche pas les ingénieurs américains de se féliciter que les ingénieurs allemands n’aient pas cherché à avoir la bombe pour empêcher Hitler de nuire. Paroles en l’air.
Le mythe de Hitler victorieux, pas mort. Les collabos Français les plus incorrigibles comme Déat et Paquis ont cru à l’invincibilité de Hitler jusqu’en janvier ou févier 1945 et encore…
Certains Allemands étaient plus clairvoyants. Ainsi le 28 septembre 1944 s’est suicidé avec son épouse Joseh Burchkel gauleiter du West Mark (c’est à dire Palatinat, Sarre, Moselle) dans sa capitale Neustadt où il avait accueilli son ami Doriot, parce que les Alliés venaient d’atteindre Metz *** / *** |