"Pour agir ou penser autrement il fallait, en effet, un peu plus que de la compétence. Un grain de folie, une aptitude au pari, un instinct permettant de flairer que le nazisme était inacceptable et que tout, même la mort, valait mieux que son triomphe absolu après un sans faute : car c'est ce qu'aurait signifié le rétablissement de la paix en juin 1940."
Il fallait plus que cela, une réflexion commencée bien avant 1940 sur la défaite et la victoir d'une Nation...
D'où l'intérêt de son texte des années 20 qui montre que s'il ne devait y en avoir qu'un DG serait celui-là.
Le ressort de la résistance Churchillienne est lié à une éblouissante compréhension de ce qu'est le nazisme, celui de De Gaulle est plus ancré sur sa conception du destion de la Nation française. Ces deux logiques sont différentes mais aboutissent au même résultat en juin 40.
Cordialement,
CM |