Le plaisir que prend le "fasciste" dans la torture me semble être partagé par nombre de représentants de régimes violents (voire même des démocraties, qui ne sont pas irréprochables en la matière, comme tu l'as souligné avec l'exemple américain). Que dire du "cannibalisme de vengeance" parfois pratiqué en Chine, lorsque des parties d'un individu étaient consommées par les partisans de Mao, devant lui ou sa famille? Quant à Pasolini, pédéraste notoire, il a probablement mis en scène ses propres fantasmes (jouer à "zizi-cul-cul" avec tout un bataillon de la GNR?). Cela dit, je reste persuadé qu'un tortionnaire "jouit" de la détresse et de la souffrance de ses victimes. |