Nous sommes partis de ceci (c'est moi qui mets en gras) :
Malheureusement, ce n'est nullement Jacques Baynac qui a tiré cette conclusion, mais moi-même. Et je maintiens que si Mme Aubrac a si subitement changé d'avis sur la culpabilité de Hardy, comme le montre l'article du Dauphiné, ce ne peut être que grâce au travail, excellentissime, de Jacques (Baynac). C'est tout. C'est aussi clair que la victoire de Nicolas (Sarkozy) le 6 mai 2007!
et à présent tu dis ceci :
Ton truc c'était dans le Nouvel Obs, moi, c'était ici même:
[]
Or il était question des opinions de Baynac, non du lieu où il les exprimait. Il a bel et bien tiré (par les cheveux) la thèse d'un revirement de Lucie d'un entrefilet du
Dauphiné, unique et manifestement fantaisiste,
puisqu'il disait ne pas être unique ("elle a déclaré une fois de plus...").
Par ailleurs, il dit faussement qu'elle a déclaré cela
au Dauphiné (interview
Nouvel Obs), alors qu'en t'amenant à produire ici le document (ce qu'il n'avait pas fait), nous avons tous pu nous rendre compte qu'elle avait fait cette déclaration
d'après le
Dauphiné, ce qui n'est pas du tout la même chose (qui plus est, en un court résumé non signé de l'article principal, qui, lui, ne disait pas cela).
Par cette preuve branlante, déformée et sollicitée, Baynac a démontré lui-même la fragilité de la thèse de l'innocence d'Hardy, centrale dans ses deux derniers livres !
Mais bon, s'il te plaît de t'enfoncer en l'enfonçant...