A la décharge d'Adolf, il faut dire que si l'on regarde la situation des armées allemandes entre le 14 (départ de la Meuse) et le 21 mai (arrivée de la 2. Pz-Div à Abbeville), elle n'est guère folichonne : loin devant, les sept Panzer-Divisionen et quelques divisions d'infanterie motorisée, derrière un trou de 200 km, et enuite, péniblement, l'infanterie... et aucune raison pour qu'une contre-attaque française venue du sud ne coupe pas en deux le dispositif de la Wehrmacht... De quoi nourrir quelques angoisses chez le caporal moustachu !
JRG |