Et, oui, des larmes, j'en ai vu poindre beaucoup, au cours de mes recherches et pas seulement dans les yeux de mes interlocuteurs....
Car tous ont commencé par me raconter leurs "bons moments". Et puis, au fil de la conversation et se sentant peu à peu en confiance devant quelqu'un qui allait "peut-être" raconter (enfin) un bout de leur vie -qui n'interesse personne, parfois pas même leurs enfants- , ils ont commencé à parler des autres jours, les moins drôles, les plus nombreux.
Frédérique |