L’effort d’un fils pour défendre son père est honorable. Il l’est encore plus lorsqu’il n’attend pas 55 ans pour le faire alors même que tous les protagonistes de cette affaire ont disparu.

Ce ton de dérision, peut-être vous apparaît-il ainsi, est bien au-dessous de la façon méprisante et désobligeante avec laquelle le Fuyard traite ceux qui ont voulu donner leur avis sur cette histoire depuis 1950 à nos jours, dont votre interlocuteur ici présent.

En essayant de les abaisser, le rédacteur du Fuyard ne relève pas le niveau du débat et ne transforme pas les données objectives en sa faveur.