"Les historiens aimeraient pouvoir travailler sans être pris à parti par des positions ultras. (pro-OAS ou pro-FLN)"
Ben justement... Les historiens sont actuellement plus pris à parti par les "pro-FLN" que par les autres qu'on entend quand-même pas très souvent dans les médias, avouons-le...
Par ailleurs, où voyez-vous, cher René, que si l'on ne bascule pas dans le misérabilisme affiché par le gouvernement algérien, on soit pour autant farouches défenseurs de l'OAS? |