Bonsoir,
A la question de leur état d'esprit en cet été 1940, l'un des Français libres partis en dissidence à ce moment-là répond à Stéphane :
- Pour vous l'avouer directement, nous étions... désespérés.
L'extrait figure dans le tout début de la première partie du docu. Sous les souvenirs un peu "fanfarons" de certains (Patou et Barberot), on sent/sait cette cassure originelle dont parle Benamou. Car, en septembre 1940, exceptés quelques rares membres du cabinet de Winston Churchill (Eden, par ex.) et le Connétable himself, qui aurait misé un penny sur ces desperados d'une armée défaite ?
Cordialement,
RC |