Bonjour,
Concernant les projets politiques pour l'après guerre, voici ce que Jacques Guillon prête au capitaine Maisan qui dirigeait un bureau de recrutement de la France Libre en Tunisie au printemps 43 (et qui débauche les marins de Guillon) :
- C'est moi qui vous le dit, moi qui suis royaliste de droit divin, royaliste de coeur et d'esprit. Nous allons vous faire une république dont vous n'avez pas idée, une république dure, intransigeante...
Il est fou, me dis-je, il est tombé sur la tête (page 259)
Amicalement
Jacques |