Bonjour,
Bien mâtinaux les Lyonnais...
On ne peut certes pas parler de contre-attaque puissante de la part des unités de cavalerie françaises dans les Ardennes. Ce n'est pas leur mission, elles ne sont pas dimensionnées pour et leur puissance de feu est insuffisante. Leur tâche était double : identifier et jalonner les forces ennemies puis engager des actions retardatrices.
Ce que je voulais surtout faire remarquer en parlant du commando Hedderich et de la 34.ID, c'est que la protection du flanc sud de la Gruppe Kleist avait totalement été prise en compte dans les plans de la Wehrmacht, et qu'ici encore, les Français avaient été pris de vitesse. Autant les unités de Kleist étaient vulnérables sur leur flanc gauche pendant la traversée des Ardennes, autant les chances de réussite d'une contre-attaque française devenaient hypothétiques une fois les unités de la 16.Armee installées sur la frontière sud du Luxembourg et de la Belgique.
Bonne journée à tous,
JRG |