A la première question, non, Jonathan Miles constate ces faits mais sans donner ses références. Alors évidemment on peut sans autre ne pas le croire mais, serait-ce si étonnant quand on lit toutes les magouilles et embrouilles qui parsèment l'histoire de la SGm ? Je ne m'étonne de plus rien.
On en revient, une fois de plus, à comparer témoignages et archives et l'on se dit que les deux sont d'égales importance.
Et au fond, qu'est-ce qui empêche une État de trafiquer ou de cacher ses archives ? Une loi internationale ? Laquelle ? |