Vous avez bien résumé la situation Emmanuel. Ainsi que la différence d'appréciation, essentiellement de nature mémorielle, entre C BARBIER et A CERRI.
Il serait dommage d'en regretter la publication de cet ouvrage. Je n'ai pas terminé la lecture, mais je trouve le ton posé et les analyses étayées. Aucun mépris d'ailleurs pour les jeunes "embarqués" dans l'aventure des Glières, un simple recul argumenté par rapport à la geste entretenue par les premiers chroniqueurs. Pas de condescendance, de mépris ou de froideur, contrairement aux accusations perfides lues sur le net.
Un travail de ce genre serait souhaitable pour bien des "engagements" de la résistance. Cf "Joli moi de mai" de Yves MERVIN par exemple.
JD |