mon raisonnement ne porte pas... - Le PCF à l'épreuve de la guerre, 1940-1943 - forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 Le débat sur ce livre
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 


La description du livre


Edition du 22 novembre 2013 à 18h21

Le PCF à l'épreuve de la guerre, 1940-1943 / Roger Bourderon

En réponse à -6 -5 -4 -3 -2
-1Et quels sont donc ceux qui ne sont plus sous les armes ? de Jacques Ghémard

mon raisonnement ne porte pas... de françois delpla le vendredi 22 novembre 2013 à 18h07

... sur le comportement de telle ou telle unité au contact de l'ennemi, que Tillon ne pouvait guère connaître, mais sur le vainqueur de Verdun appelant sa nation à cesser le combat sans précision de délai, donc immédiatement.

Je rappelle d'ailleurs l'effet de la chose sur les halifaxiens de Londres : .

S'il y a un point commun entre Halifax, Weygand, Tillon et Pétain (mais, j'espère, ni Ghémard ni Chambost !), ce n'est pas de prédire l'avenir mais, au contraire, de ne rien comprendre, une fois de plus, à Hitler, de ne pas soupçonner une seconde qu'il manoeuvre en finesse : il n'en a rien à faire, d'une France qui capitule sans conditions et n'importe comment -bien qu'il le réclame tous les jours par sa radio. Il veut un armistice en bonne et due forme, condition indispensable pour que le combat s'arrête de façon claire et nette et, pour cela, il tarde à entamer les négociations d'armistice. Sa seule réaction, le 17 dans la soirée, à la déclaration de Pétain comme à la demande d'armistice partie via l'Espagne la nuit précédente, c'est de dire qu'il rencontre Mussolini le lendemain pour causer des conditions.

C'est cela qui oblige Weygand à envoyer le contrordre et Baudouin à déclarer le soir que rien n'est conclu, le tout débouchant sur la falsification de la phrase de Pétain en "il faut tenter de cesser le combat".

Le tract de Tillon s'inscrit parfaitement dans l'ambiance de cet après-midi, où la terre entière pense que la France a capitulé.

*** / ***

lue 1964 fois et validée par LDG
 
décrypter

 



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.01 s  5 requêtes