Le 20 février 34, le mécanicien Chossard en rentrant au dépôt de Pérrigny, fit l’inspection de sa machine avant de rentrer chez lui. Il découvrit des bouts d’étoffe et des débris humains.
Il prévint son chef qui envoya ses employés reconnaître la ligne jusqu’à Dijon. Ils découvrirent à « la Combe aux fées » une tête humaine. Ils prévinrent les gendarmes qui à 5 h. du matin réveillèrent le Procureur de la République Barra de Dijon.
Voici comment fut découvert le premier acte de cette affaire.
Jamais nous avons entendu que des lycéens, se promenant sur la voie ferrée à la « Combe aux fées » vers minuit le 20, auraient découvert le corps.
À fortiori, l’inspecteur Bonny qu’on a soupçonné d’avoir trempé dans l’affaire avant le crime, n’était sûrement pas sur la voie.
Vraisemblablement Alex Grangier nous raconte un événement
qui s’est passé dans les semaines qui ont suivi le crime où des badauds affluaient à la « Combe aux fées ».
Il se peut que des lycéens soient présents et racontent leur vie à des journalistes sur le site.
Où bien alors c’est un scoop : des lycéens se baladaient sur la voie ferrée dans la nuit du 20 au 21 février et auraient découvert le crime. Mais ici, il ne faut pas garder ce secret.
Ce serait étonnant étant donné que les plus grands policiers de Dijon et de Paris se sont penchés sur l’affaire. |