Respect du matériel filmé. de René CLAUDE le mercredi 31 août 2011 à 12h06
Le débat remonte à la colorisation loupée par le producteur de disco (!) Giorgio Moroder du chef-d'œuvre de Fritz Lang Metropolis au milieu des 80's. A l'époque, des réalisateurs de premier plan avaient dénoncé le procédé comme une intervention intempestive dans le travail d'un cinéaste qui plus est décédé.
Ma position: on montre les images d'archives telles qu'elles furent tournées. Les images en n/b et celles en couleurs (Agfa et Kodak) peuvent très bien cohabiter dans un film.
Que dirait-on de quelqu'un qui mettrait de la couleur sur des photos de Cartier-Bresson ou de Capa ?
Bien cordialement.