Le conseiller Prince. Expertise. Contre-expertises. Enquêtes. - L'affaire Prince 1934 - forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 Le débat sur ce livre
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 


La description du livre

L'affaire Prince 1934 / Gisèle Dessaux Prince

En réponse à -2
-1Le rapport d'autopsie de Francis Deleu

Le conseiller Prince. Expertise. Contre-expertises. Enquêtes. de Serge Desbois le samedi 18 juin 2011 à 07h42

Cher Francis

Bien sûr que j’ai développé les expertises et contre-expertises de Prince mais c’est pour la présentation dans « livre de guerre » du bouquin de sa fille.


Elle figure intégralement dans un ouvrage d’un nommé Alfred Détrez journaliste et ami du défunt paru moins de 6 mois après l’ assassinat en août 1934.

Il relate avec plus de détails deux incidents qui se sont passés lors du transport en voiture par les truands du conseiller Prince de Dijon à Talent où ils ont été aperçus par des témoins.
Une dame Marin qui allait chercher sa fille à l’école à pied, a failli être heurté par une voiture, elle-même prise dans un embouteillage (oui il y avait des embouteillages en 1934). Elle a très bien vu à travers les carreaux un homme qui se débattait entre 2 autres et qui criait « À moi, à l’aide ! ».
Elle a retenu le N° minéralogique mais sa fille n’avait pas de crayon. Rentré à la maison son mari l’a dissuadé de prévenir les gendarmes. Le lendemain elle apprend le crime de la Combe aux fées. Elle a prévenu les gendarmes mais elle ne se souvenait plus exactement du numéro minéralogique.

Encore maintenant il y a un partisan du suicide de Prince paru dans un livre mais cette hypothèse ne tient pas la route compte tenu des expertises et contre-expertises et des enquêtes.

Le commissaire Guillaume de Paris dans son rapport, voulant faire plaisir à la hiérarchie judiciaire (dont le procureur général Pessard, beau-frère de Chautemps), avait développé un compte-rendu ou les arguments en faveur du suicide étaient prépondérant mais il a bien fallu qu’en conclusion il penche pour l’assassinat.

Le conseiller Prince, attiré dans un guet-append qui l’informait que sa mère avait été opérée d’urgence, en débarquant de la gare de Dijon et après avoir posé sa valise à l’hôtel Morot en face de la gare, s’est dirigé non pas, bien sûr, vers la maison de retraite 40 rue Condorcet à 600 m. mais dans une voiture que l’assassin mettait à sa disposition pour aller à la clinique. Il ne s’agissait pas d’une clinique…

Très cordialement

*** / ***

lue 1883 fois et validée par LDG
 
décrypter

 



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.01 s  5 requêtes