Si les résistants étaient imprudents, ils n’étaient pas assez inconscients pour se donner rendez-vous sur un pont qui était toujours surveillé.
Bien d'accord avec vous. Sachant cet endroit très surveillé, j'ai de la peine à imaginer des cadres et des agents de la résistance y opérer en '43, après des mois ou des années d'expérience pour certains, des va-et-viens, des conciliabules et des échanges de courrier et/ou d'argent répétés en plein jour à la vue de tous, quand ils ne devaient pas faire le pied de grue en attendant le contact... Le témoignage de Defferre s'en tenant à un prudent "près du pont Morand" paraît plus plausible et plus raisonnable.
Merci de vos éléments et photos.
RC |