Je n'ai jamais dit le 16 juin au lieu du 6 août 44 en ce qui concerne la condamnation de la Milice par Pétain, pour la bonne raison que je suis prêt à ajouter foi à l'opinion de mon fils Christophe (grâce à qui nous avons fait connaissance) sur cette condamnation.
Selon lui, cette condamnation n'a eu lieu qu'après la percée d'Avranches, car, utile jusque-là, la Milice devenait plus nuisible qu'utile après.
Or, Christophe est loin de partager mon enthousiasme pour la noble figure du maréchal. |