Pourtant c'est toi qui m'as jeté. de Boisbouvier le mardi 09 février 2010 à 23h08
Ce qui m'inquiète moi, c'est que tu ne reproches pas à la République de Weimar (et donc à la démocratie) d'avoir toléré si longtemps les coercitions diverses et variées qui s'exerçaient sur l'électorat. Impéritie, te dis-je !
Tu te flattes beaucoup quand tu prétends m'avoir fait battre en retraite. J'avais l'impression du contraire, car, si je me souviens bien tu m'as jeté.