D'ailleurs je rappelle (car je l'ai déjà dit) que tout le monde s'est tromé à l'époque et que, aussi bien l'attaché chargé d'affaires américain Tuck, que les assistantes sociales de Bordeaux, que les rabbins demandaient en grâce qu'on ne sépare pas les enfants des parents.
Quant à Helbronner, président du Consistoire, il eut à l'époque une parole historique. Il dit : "Si le Président Laval veut me voir qu'il me convoque avant le 4 août, car, après je pars en vacances et plus rien ne me fera revenir." |