Le 4 octobre 1940, le tribunal militaire permanent de la 13e division militaire, siégeant à Clermont-Ferrand, le condamne comme officier pour désertion en présence de l'ennemi[6] à la déportation à vie et à la dégradation militaire, contre six ans de prison pour Mendès, huit ans de prison avec sursis pour Pierre Viénot et un non-lieu pour Alex Wiltzer[7],[8],[9],[10]. Ses prises de position très antimilitaristes et pacifistes avant la déclaration de guerre ne sont sans doute pas étrangères à cette sévérité. |