Et le doigté, alors ? de Auteur anonymé le lundi 30 novembre 2009 à 10h49
J'aurais voulu vous y voir, Jacques Ghémard, dire aux Allemands que vous n'avez pas confiance en eux et que vous désireriez constater de visu quel sort attendait les déportés.
Du coup, c'est toute la politique de contacts urbains de Laval et consorts ( Bousquet,Luchaire, de Brinon... avec Abetz et Achenbach) qui s'effondrait.
Qu'il est facile d'être héroïque en 2009.