Et qu'importe ceux qui ont pu réclamer que les enfants ne soient pas séparés des parents, ils n'ont pas réclamé que les enfants soient tués en même temps que leurs parents.
Quand à Laval, qu'importe le prétexte, il est responsable de sa décision. Et quand on décide, on doit le faire en connaissance de cause. Il aurait donc dû n'accepter les déportations que sous surveillance, envoyant d'abord des missions d'information sur place, puis des missions d'accompagnement. C'est sa responsabilité de n'en avoir rien fait et de ne pas avoir su. |