Après ce fort moment de télévision* (trop rare comme je l'ai déjà dit), je reviens à l'histoire qui nous occupe avec une petite note sur l'empereur Caracalla qui figure au bas de la page 597 dans Présumé Jean Moulin de J. Baynac:
Né à Lyon en 188, Caracalla est resté dans l'histoire pour avoir assassiné son frère, en 212, s'être débarrassé de ses adversaires, parmi lesquels Papinien, préfet du Prétoire, et avoir tenté d'unifier l'Empire par son édit qui accordait citoyenneté romaine à tous les sujets libres de l'Empire.
Mais avant d'aller plus loin, je vais plonger dans le livre de Cordier.
Cordialement.
RC
* On se laisse envoûter - avec plaisir en ce qui me concerne - avant de s'ébrouer pour reprendre contact avec le réel. Puis on se (re)dit quel extraordinaire pouvoir de fascination exerce la télé sur ceux qui la regardent et d'abord sur ceux qui la font. |