Merci de me définir comme un pro; vous en êtes un autre.
L'appellation "escadrille", pour le grand public, est restée attachée aux définitions de 1914-1918, probablement, qui mettaient en oeuvre moins de machines.
Pour ce qui est d'Andrieux, sa préface de l'édition française, contenant un paragraphe remanié à la gloire de l'aviation française de 40, ne peut être perçue, concevez le, que comme un échange de bons procédés. Ce qui ne retire rien aux mérites de cet éminent général d'aviation que j'ai eu le bonheur et l'honneur de connaître.
Parions que l'édition anglaise a également reçu la préface d'un as anglais? |