Bonsoir,
Le seul exemple connu de destruction d'archives est celui de Marseille.
Les registres de recensement des Juifs de la région marseillaise furent retrouvés lorsque le député-maire communiste de Marseille, Jean Cristofol [1] prend ses fonctions en 1947. Cristofol applique aussitôt la loi d'août 1944. A l'occasion d'une cérémonie officielle, en présence de nombreuses personnalités de la ville, Cristofol remet les "registres de la honte" à Serge Krikowski [2], conseiller municipal communiste. Ensemble, ils y mettent le feu.
Bien cordialement,
Francis
[1]
Jean Cristofol merci Wikipedia
[2]
Serge Krikowski merci "L'Humanité"