Les Allemands pouvaient nourrir des craintes sur le sort réservé aux aviateurs allemands abattus, si les Alliés avaient eu connaissance de la consigne donnée aux pilotes allemands (consigne trés probablement verbale, qui n'a laissé aucune trace) de ne pas laisser survivre un adversaire abattu.
On a façonné depuis le mythe du combat chevaleresque, mais les "aigles de Goering", dés le début de guerre, et avec une belle unanimité semblent avoir eu à coeur de flinguer les pilotes adverses au bout de leur parachute.
Le Commandant Claude, abattu en combat aérien, parachuté, et arrivé à terre mort, pourrait en témoigner
ainsi que le lieutenant Pomier Layrargues, qui venait d'abattre l'as Moelders, mais a été abattu ensuite
La pratique semble avoir été suivie en de nombreux cas, dans la bataille de France et la bataille d'Angleterre.
Dans la RAF, c'est Mc Lachlan, mitraillé, en mer, dans son dinghy, aprés s'être parachuté. |