Monsieur BEL,
C'est tout cela qui a été écrit
"C'est peut-être aussi de l'imbécilité de croire qu'en restant, face à une guérilla barbare. Il n'y aurait plus eu de "Famille Massacrée et de petite fille aux yeux crevés qui se heurtait aux murs en hurlant". Et ce, en faisant que les Fils de France ne se salissent pas plus, pour se rabaisser dans le camp des barbares.
Vous omettez de dire que DE GAULLE et le peuple Français a donner par voix démocratique la possibilité de choix.
Le FLN s'est sali et déshonoré personne n'en est étonné.
De 1939 à 1962, la France n'était qu'en guerre, ce qui ne pouvait qu'en arranger certain, alors qu'il y avait tant à faire pour moderniser le pays. Ce que vous appelez la veulerie Gaulliste est surtout de la clairvoyance."
Merci de ne pas saucissonner !!!
Inutile, non plus, de vous raccrocher à PETAIN, il n'y avait aucune vision d'avenir de sa part à lui. Son instrumentalisation était d'ailleurs certainement voulu par d'autres.
Est-ce que je vous ai soutenu que cela à été simple de quitter l'Algérie. Certainement pas !!!!
Par ailleurs je n'oublie pas non plus que nous sommes en 2007, après des différents fondamentaux dans la politique du Moyen-Orient, qui laisseront des traces pour longtemps.
J'ajoute qu'une guérilla urbaine, en plus barbare, ne se contient pas avec une armée, même victorieuse dans les bleds. Donc sauf à guerroyer sans fin, et à s'user inutilement, il n'y avait aucun avenir autre qu'à trouver une sortie.
C'était sans doute possible avant 1956, après, les haines qui visiblement persiste encore, empêchait toute solution viable.
Que l'Algérie soit un drame pour beaucoup de famille, j'en convient.
J'ai dans mon histoire familial, les choix "de valises ou de mort" généré par des pourritures.
Et vous voyez je ne vous parle même pas de l'OAS. Par contre, comme on le trouve dans la rhétorique d'une certaine Amérique et dans certain milieu, je suis d'accord avec Mr ou Mme Arcole, depuis notre défaite de 1940, l'armée française est pas mal dénigré. Est-ce juste ? C'est un autre sujet.