Bonjour,
Ce qui frappe à la lecture de ce « journal de guerre », c’est l’expression de sentiments et de faits souvent occultés dans les récits écrits la paix revenue. Ici pas de combats chevaleresques, même dans le désert, et l’ennemi risque parfois gros en devenant captifs des free french. Haine et vengeance, voilà des mots souvent oubliés des combattants écrivains. Dans ce livre, ces sentiments sont largement présents. ( alors qu’ils seront totalement absents de l’autre livre de Jacques Bauche, datant celui-là de 1967.
)
Cordialement
Laurent