Sur le moral des troupes françaises, rien n'a dépassé pour le moment à ma connaissance les travaux de Jean-Louis Crémieux-Brilhac. Il a varié avec les mois et les semaines et n'était pas clairement inférieur à celui de 1914.
C'est donc (vieille antienne de ma part, que je me garderai ici de développer) le commandement d'en face qui a fait la différence, notamment en laissant pourrir la guerre, ce qui le faisait paraître empêtré, avant de frapper dur et juste. |