Un historien tel Jean-Paul Cointet, très sérieux et peu suspect de complaisances maréchalistes ou lavaliennes, cite lui aussi des extraits du chef-d'œuvre de L.-F. Céline, D'un château l'autre (Folio) pour offrir au lecteur des fragments de ce que fut l'ambiance à Sigmaringen-Ubuland.
Cet exemple pour réaffirmer que le talent littéraire transcende les engagements les plus navrants et qu'il perdure bien au-delà de la réputation politique de l'écrivain, ici l'encombrant mais incontournable auteur du Voyage au bout de la nuit, roman hénaurme qui fut une révolution littéraire.
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