C'est délicat. Chaque fois que j'aborde le sujet sur LdG (et ailleurs dans la vie réelle), je sais le risque de me prendre les pieds dans les mêmes vieux pièges et de succomber à une certaine (auto)complaisance. Mais en même temps, il y a un entousiasme littéraire vraiment sincère. En ce qui me concerne, c'est plus la génération Nimier-Frank-Malle (Louis)-Blondin-Vailland (Roger : un peu plus vieux), hussards et libertins (pour certains) qui me séduit toujours.
(J'ai relu des pages du Feu follet de l'impossible Drieu. C'est son meilleur titre; l'émotion perçait enfin.)

RC