Bonjour david, bonjour a
tous.
Tout d'abord David, je voulais vous
remercier de m'avoir permis de me replonger dans ma modeste bibliotheque, et en
particulier sur cette fameuse journee du 11 novembre 1940, en prenant par
exemple deux auteurs.
Yves Domange precise ainsi en page
102 de son livre, que les pertes enregistrees pour cette
journee se montent a 7 BR hors service, 12 tues, 6 blesses, 4
prisonniers. Pour etre plus precis (p100), 2 BR 20 abattus par la chasse au
dessus de la mer du nord, 1 au dessus de l'Angleterre, 1 se pose en urgence au
retour a Bray-Dunes, 1 a Hingene en Belgique et 2 a Deurne-Anvers et ca fait 7
si je compte bien, merci.
Cynrick De Decker, lui ecrit en p 8
de son 2°article:"des dix BR 20 M ayant decolle de Chievres, seuls trois
appareils endomages viennent se reposer a leur base de depart.
Les chasseurs ne vont pas s'en
tirer mieux. La plupart connaissent des problemes de carburant et pas moins de
19 biplans ne peuvent revenir sur leur terrain. dix Falco seulement vont reussir
a se reposer a Maldegem ! Le ten Ramolo Artina tente l'atterrisage d'urgence sur
une plage belge avec son 95-14 endommage, mais son train s'enfonce dans le sable
mou et l'appareil se retourne. Au total, dix Fiat CR 42 subiront des degats
divers a l'issue d'atterrissage en campagne..."
sources: le Fiat BR
20, Yves Domange, lela presse et Faisceaux italiens sur la manche, Cynrick De
Decker, avions n°79 et 80.
De meme David lorsque vous me dites
que j'emploierai "un ton ironique voir meprisant ", la je ne vois
absolument pas de quoi vous voulez parler; ne nous meprenons pas...Ou alors
lorsque vous ecrivez plus loin"...des comptes personnels a regler avec les
italiens (vacances de mauvaise qualite, victime de pickpocket, pizza
degueulasse,...)" peut etre auriez vous l'aimable obligeance de preciser
votre pensee ?...
De mon cote, je vous inviterai
seulement a lire ou relire ceci:
Et en particulier le temoignage des
familles italiennes comme ici:
"Mon pere a decide de quitter
l'Italie de nord en 1925, pour fuir le regime politique (fasciste). Le port de
La Pallice se faisait. Il y avait un travail monstre, il n'y avait pas assez de
main d'oeuvre, et on aimait beaucoup les macons
italiens..."
merci
laurent