On se met à penser... de René CLAUDE le mardi 02 mai 2006 à 10h39
On se met à penser que si l'armée française avait eu rien qu'une centaine d'officiers aussi décidés et actifs (et atypiques) que Barberot travaillant en liaison avec des civils comme Germaine Tillion, la cassure entre Européens et Arabo-berbères eût pu être évitée entre 1955 et 1957...