... si j'en crois quelques lignes évocatrices du journal de guerre de l'ami de mon père. Des lignes que j'ai "ignorées" dans mon récit, par respect envers leur mémoire. Mais, à Naples et Rome, puis plus tard en Autriche, çà n'avait pas l'air d'être très "froid" non plus. Je l'ai discrètement évoqué d'ailleurs, avec quelques mots choisis.
Par contre, entre Lyon et Lindau, c'était moins drôle, çà c'est sûr ! Plus une ligne sur les soirées de la "Champain campain!", comme dit mon copain américain du site Dogface soldiers.
Frédérique |