... Mais on peut raisonnablement penser que les travailleurs de l'Europe (occidentale et orientale) n'avaient eu aucun écho des écrits de Marx, Engels and Co, et, que, par conséquent, ce n'était pas foncièrement un ordre nouveau qu'ils appelaient de leurs voeux, mais plus une amélioration nette de leur niveau de vie quotidien : une journée à 10h de labeur, une soupe moins claire et, pourquoi pas, donner son avis sur le monde politique local (en ce qui concerne la France du XIXème siècle, difficile de parler d'une République une et indivisible).
Ensuite, je considère qu'il est inexcusable que l'on soutienne encore, à notre époque, cette idéologie. Passe encore qu'au XIXè siècle, cette utopie puisse paraître aguichante. Mais que l'on entende encore des syndicalistes vociférer un discours marxiste, cela me paraît tellement... Comment dire? Vain, imbécile, et criminel. Car malheureusement, tous les sympathisans de gauche n'ont pas un discours aussi mesuré que le vôtre.
Moi, j'ai du respect pour les victimes de la barbarie nazie, et j'en ai aussi pour les victimes de la vindicte marxiste, qui a fait des millions de morts et qui continue d'en faire, sous le regard coupable de certaines démocratie occidentales, qui déroulent le tapis rouge pour recevoir des Hitler africains ou asiatiques. |