Amis co-internautes bonjour
De Gaulle appartenait à ce genre de patrons qui aimaient bien les beaux meubles sans anticiper de savoir si ceux-ci seraient d’un bon usage. Quelques fois il a eu la main heureuse, par exemple Malraux qui a fait restaurer les façades des immeubles parisiens transformant l’aspect de la capitale qui auparavant, grise ou noire, décevait tant les visiteurs étrangers. Avec D’Argenlieu ce ne fut pas le cas. Sans vouloir faire ce que j’appèle de « l’Histoire interprétative » comme certains de nos amis co-internautes souvent ici sur LDG, on ne m’enlèvera pas de l’idée que ce moine amiral provisoirement défroqué, avait comme arrière pensée de garder un pied-à-terre en Indo pour les missionnaires catholiques, en tentant le coup de la Cochinchine indépendante et en essayant de la disjoindre du Tonkin voué à brève échéance, à l’indépendance et au communisme.
Cordialement.