Bonjour à tous,
Pardonnez-moi, mais ce débat me paraît bien stérile et ressemble plutôt à une querelle de clochers.
Mais je pose tout de même une question : comment faut-il considérer ceux qui ont (ou avaient) toutes les billes pour être "FFL" et qui ont toujours refusé ce titre ? J'en ai cotoyé un pendant 42 ans : engagé en 1942, dans sa 19e année, il a participé à pas mal de combats de la France libre, mais il m'a toujours dit qu'il n'était pas un "Français libre", mais un "Français" tout court. Et peu lui importait de savoir si ses camarades tombés à côté de lui dans les boues de l'hiver 1944 avaient signé avant ou après la date fatidique. Ils étaient tous Français et se battaient pour la France et pour effacer l'humiliation... celle des "cocus de 40", comme il me disait souvent...
Ceci dit, Stéphane, pour l'appellation FFL, il y a un texte. Point. La loi est dure, mais c'est la loi.
Bonne journée à tous,
JRG |