On sait qu'il y avait chez nous des enrages. Oui j'ai probablement tord de ne pas m'interesser a ces personnes, mais il y en a tellement d'autres autrement interessantes et c'est la notion de marche (la quantite des commentaires) et nonle principe (liberte d'en parler ou de l'etudier) qui me chiffone. De la a en conclure a un echec des democraties a depasser leur histoire, c'est aller loin dans le verbe. Les tyrannies y reussissent elles mieux? Ou sont les etudes sur les assassins de l'inquisition? J'ai probablement tord mais ne nous emballons pas au sujet de ces tristes sires, meme pour ceux qui y ont montre du courage. D'ailleurs j'ecris un livre sur Walter Schellenberg qui fut un triste sire et dont peu connaissent les mefaits, caches qu'ils sont par les merveilleuses histoires (vraies) d'espionnage qui ont emaille sa vie. Mon commentaire ne pouvait donc etre interprete comme il le fut, mais quelle importance? |