Bonjour,
Vilaine pensée : y aurait-il un protectionnisme historien français (élargisson : francophone), conscient ou inconscient, une sorte de "numerus clausus" tacitement acquis et appliqué par les directeurs de collection sur des auteurs anglophones dont les essais, études, biographies pertinents concernant le champ de la Seconde guerre mondiale entrent en trop sérieuse concurrence avec leurs produits "nationaux" ?
Quand on découvre des titres traduits comme ceux d'un A. Beevor, pointus mais accessibles, on se pose la question. Et si d'autres chercheurs restaient non traduits pour cela ... ?
Tsss... Qu'on me rassure, je suis trop suspicieux ce matin !
Cordialement,
RC |