Parce que ça on n'y pouvait rien de Jacques Ghémard le samedi 23 octobre 2004 à 17h15
Dans toute réflexion sur un échec, il me semble qu'il faut évidement se demander quelles étaient les qualités de l'adversaire mais de toute façon ce sont nos défauts qu'il faut corriger.
Et une fois nos défauts corrigés, Rommel n'était pas si bon que ça.