"Ceux qui étaient hors de France, à l’étranger ou dans notre Empire, eurent toutes facilité pour rejoindre les Forces du général de Gaulle."
Je veux bien croire que ce fut plus facile que de franchir les Pyrénées en hivers, mais tout de même pas si facile que ça.
Les récits des différents départs sont généralement assez explicites sur ce sujet et encore, ceux qui sont morts n'ont rien raconté.
Je pense à Barberot, fuyant à la nage dans le port d'Alexandrie et qui raconte la course poursuite qui s'ensuivie dans "des hommes libres" ou aux "oubliés de Damas" emprisonnés en Syrie et finalement libérés par les Britanniques.
Quand au "crime de Mers el Kébir", je ne suis toujours pas convaincu de connaitre l'assassin.
Amicalement
Jacques |