Bonsoir,
Dans les premières lignes de la transcription d'une longue Conversation qu'eut Jean Lacouture avec Henri Guillemin pour France Culture, Une certaine espérance, chez Arléa, 1992, le biographe écrit que l'œuvre de Gullemin se lit avec emportement et quelques frémissements de refus.
Mais apprivoise-t-on une flamme ? Questionne-t-on le feu ? Interroge-t-on un brasier ?
Ce message n'a pas un rapport direct avec le sujet de ce débat - l'affaire Pétain - mais je crois que les mots de Lacouture cernaient bien le caractère bouillant, enflammé de l'historien qui fut un libre esprit toujours prêt à crever les baudruches !
Bien cordialement,
RC |