Reprenant le livre de Martin du Gard (pas celui des Thibault, heureusement) dans lequel se trouve le texte cité par Francis (page 136), je trouve également sa curieuse justification du fait que d'Argenlieu se soit fait mitraillé (page 135).
Larminat, très tranquillement, m'accuse d'avoir tiré sur ceux qu'ils nomment leurs parlementaires. Pour le fait en lui même, je n'y suis pour rien, mais depuis quand un Français aux intentions saines a-t-il besoin d'un pavillon blanc pour aborder une terre française ?
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Jacques |