La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Wehrmacht - Allemagne nazie |
- | L'armée allemande sous le IIIe Reich. Littéralement Wehrmacht signifie "puissance (ou force) défensive". L'armée allemande prend ce nom en 1935 à la place de "Reichswehr" (voir ce terme).
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Dans ce texte : Des Romands à la tête de l'armée suisse de René CLAUDE le dimanche 06 mars 2011 à 15h31Les historiens Jean-Jacques Langendorf et Pierre Streit ont participé à ce colloque. Je lirai avec intérêt le compte-rendu.
Toujours à propos de l'état-major particulier de Guisan:
(...) Barbey était issu d’une famille bourgeoise et modeste de Montcherand où l’on cultivait l’amour des chevaux qui ne le quitta jamais. Ce littéraire «monta» à Paris à 23 ans où il mena une vie plutôt mondaine et publia des romans plutôt ténus. C’est lui que choisit Guisan en qualité de chef de son état-major personnel. Avec d’emblée, une tâche délicate. En novembre 1939, il est envoyé à Paris pour nouer des contacts avec l’armée française que l’on jugeait alors plus puissante, plus nombreuse et mieux équipée que la Wehrmacht. La défense suisse était alors fragile, archaïque, mal organisée et n’aurait pas pesé lourd en cas d’attaque. Rapport de force décrit avec clarté et compétence par l’historien militaire Jean-Jacques Langendorf dans son dernier livre*. Le général vaudois était d’une détermination absolue mais aussi pragmatique. Quitte à égratigner sérieusement la neutralité, il fit élaborer une stratégie commune franco-helvétique pour résister aux Allemands. Barbey fit d’innombrables navettes par-dessus la frontière, nouant d’étroits contacts avec les hauts responsables militaires français, les invitant sur place, se penchant avec eux sur les cartes et prévoyant même de leur laisser une part du commandement sur notre territoire en cas de guerre ! (...)
Jacques Pilet dans 24 heures
Source:
* J.-J. Langendorf et Pierre Streit, Le général Guisan et l’esprit de résistance, Ed. Cabedita
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