le Glossaire de Francis a trouvé :| - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : "Démenti plausible" de Nicolas Bernard le lundi 30 novembre 2009 à 17h09
> On ne croit pas, surtout en temps de guerre, à une
> information aussi confidentiellement diffusée.
1) l'information n'a pas été "confidentiellement" diffusée (voir les sources citées) ;
2) "On ne croit pas", dites-vous ? L'information n'en existe pas moins. A chacun de réagir en conséquence. Il me semble qu'une information pareille devrait conduire un gouvernement envisageant de déporter "ses" Juifs de chercher à s'informer plus avant, non ?
> Imaginez un instant qu'une information aussi "bizarre"
> que le 11/9 n'ait été diffusée que par un ou deux tracts
> ou un ou deux articles confidentiels. La croiriez-vous ?
Je ferai en sorte de vérifier la chose grâce à google.map... Vichy a-t-il cherché à s'enquérir vraiment du sort des Juifs déportés ? Non.
Hormis que l'un et l'autre événements ont entraîné la mort de leurs victimes, je ne vois franchement pas le rapport entre un attentat terroriste limité dans le temps et organisé de telle manière qu'il ne pouvait être que filmé par C.N.N. et FoxNews, et une entreprise génocidaire impliquant des arrestations violentes, des internements épouvantables, des déportations inhumaines, et une extermination immédiate (par gazage) ou différée (travail, famine, malnutrition, sadisme des gardiens), ce sur plusieurs années, à l'échelle européenne, et nécessitant l'intervention de plusieurs milliers d'agents divers et variés, des policiers aux chimistes, des cheminots aux propagandistes, des architectes aux militaires.
Une telle organisation ne peut pas demeurer secrète. Elle le peut d'autant moins que Hitler lui-même avait martelé, dans plusieurs de ses discours publics, que les Juifs allaient être exterminés. Si le secret a néanmoins été imposé par les nazis, c'est pour permettre à chacun d'entre eux d'opposer un "démenti plausible" à d'éventuelles accusations, de telle sorte qu'ils avaient la possibilité de nier leurs propres responsabilités. *** / *** |
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