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Le mythe Hitler - Ian Kershaw
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


Autour - Allemagne nazie
-

Lors de l'offensive des Ardennes en décembre 1944, deux missions de commandos furent planifiées et reçurent les noms de code "opération Autour" (Stösser) et "opération Griffon" (Greif).
L'opération Autour, confiée au lieutenant-colonel von der Heydte, était destinée à faire sauter des parachutistes sur les Hautes-Fagnes avec l'objectif de prendre le contrôle des ponts et carrefours sur les routes des Ardennes.


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")


Seconde Guerre Mondiale - SGM
-

Les anglo-saxons écriront WW2 ou WWII pour World Ware Two. Bon à savoir pour une recherche utile sur le Web.


Waffen SS - Allemagne nazie
-

Section de protection de l'armée. Unités combattantes de la SS (Voir SS).


SS - Schutzstaffel - Allemagne nazie
-

"Echelon de protection" ou "Section de protection".
Créée en 1923, la SS est d'abord la garde prétorienne de Hitler. Sous l'impulsion de Heinrich Himmler qui en prend la tête le 6 juin 1929, elle devient la police du Reich. A partir de 1937, la SS est chargée de la gestion du système concentrationnaire.
Himmler portera le titre de "Reichsfürher-SS".

A partir de 1935, la SS se subdivise en différentes branches notamment:
- SS Verfügungstruppe (troupes mises à disposition), organisées militairement et qui deviennent, au début de la guerre, les Waffen SS.
- SS Totenkopf (tête de mort) chargées de la garde des camps de concentration.

Dans ce texte :

Erreur sur toute la ligne de Thiriel le mercredi 04 mars 2009 à 18h18

D'abord, vous vous trompez de cible, j'ai toujours considéré que le bombardement de Dresde et de quelques autres villes allemandes répondant au principe de terreur des populations formalisé (certes par la bande) à Anfa était indigne du camp qui les a commis, quel que soit le nombre de victimes.

En revanche, le reste de votre démonstration me laisse perplexe : En quoi le fait que Dresde fut un acte criminel change-t-il quoi que ce soit à la réalité du génocide commis par les nazis ?.

Allons, vous n'êtes pas naïf et savez très bien que monter en épingle les faits douteux voire franchement criminels dans le camp allié (bien sûr qu'il y en a) fut et reste l'un des principaux chevaux de bataille des nostalgiques et autres négagas.

En "démontrant" que les Alliés se seraient rendus coupables d'une floppée de crimes mis bout à bout quel qu'en soit l'importance (exécutions sommaires, viols jusqu'à une tentative de "génocide" du peuple allemand héritée de la propagande goebbelsienne), on tente de ramener l'Allemagne nazie au rang d'une nation parmi d'autres ayant, bien sûr, commis des "excès" (que l'on minore par ailleurs) à peu près comme les autres. Les nostalgiques du régime ont commencé ce "travail" de sape idéologique dès 1945. Voir notamment à ce propos la Seconde Histoire du nazisme en Allemagne Fédérale (Alfred Wahl, Armand Collin, 2006).

Pour faire bref, les prétendus 130 000 morts de Dresde ne sont justement pas anodins puisqu'ils permettaient aux falsificateurs de présenter le bombardement comme plus meurtriers encore qu'Hiroshima (là, en effet, ça marque les esprits pour reprendre vos propres termes). De même, en renversant la lunette, que d'agitation autour d'une pauvre douzaine de Waffen-SS français exécutés (certes de façon indigne) sur le bord d'une route.

Pour en revenir au traitement des prisonniers allemands, il y a certainement des choses à découvrir quitte à écorner un peu l'image des braves libérateurs ou la nôtre. Mais les chiffres sont, là encore, fondamentaux. Ceux avancés à une certaine époque pour les prisonniers allemands (1 million de morts !) sont absolument délirants mais présentent pour les négationnistes un attrait de taille : élever la cruauté alliée au rang de celle des Nazis (quand on commence à compter en millions, hein, qu'est ce qui vient à l'esprit ?) Or, les chiffres réels indiquent une surmortalité inexistante ou, au pis, tout à fait marginale. Il y a certainement eu de nombreux mauvais traitements (ça n'a pas commencé ni ne s'est arrêté avec la Seconde guerre mondiale) mais rien qui puisse être comparé de près ou de loin à ce que l'ont peut trouver à l'Est ou dans les Balkans. Les chiffres de Bacque ne sont pas gonflés, ils sont absurdes. Peu importe qu'ils soient réfutés, ils restent ancrés dans un tas de cervelles. Mettre en avant ces chiffres, même pour les minorer du bout des lèvres, c'est déjà de la manipulation.

Pour le reste, je n'ai jamais dit que ce "dossier", tout comme bien d'autres, ne méritait pas d'être examiné.

*** / ***

Consulter ou enrichir le Glossaire de Francis



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