 La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Народный комиссариат внутренних дел ou en langage phonétique : Narodnyi Komissariat Vnutrennikh Del.
A oublier sauf pour les puristes.
Plus prosaïquement, l'ancêtre du KGB, la police secrète soviétique. Pendant la Seconde Guerre mondiale, des unités militaires du NKVD étaient attachées à chaque commandement du front. Les responsables de ces unités spéciales dépendaient directement de Beria et de Staline et non de la hiérarchie militaire normale.
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- | Narodnyï Komissariat Vnoutrennykh Diél (Commissariat du peuple aux Affaires intérieures). Le NKVD remplace en 1934 le GPU [*]. Cette police politique sera chargée de la sécurité de l'Etat jusqu'en 1946. Elle a à son actif les grandes purges ordonnées par Staline et les déportations massives vers les camps de travail.
[*] voir ce terme.
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : Précision de MOSCA le mardi 01 juillet 2008 à 14h29
J'ai écrit:
Voyez vous, l'URSS était un peu l'héritière du régime des Tsars ou la cour avait ses intrigants, ses favoris, ses opportunistes.
Pétrov était aussi mal aimé de Staline que Rokossoski pouvait l'être de Béria et du NKVD, qui s'en voulait d'avoir laissé s'echapper un poisson aussi gros.
Objectivement, je ne saurais dire si Beethoven était meilleur musicien que Mozart. Si Koniev était meilleur général que Wassilievski. Car le commandement de l'armée est autant une science, qu'une technique ou qu'un art.
Ce qui est certain, c'est que Staline préférait Joukov le plus brutal des généraux russes, voire les vieilles nullités comme Vorochilov ou Boudionny qui étaient politiquement surs. Aux yeux de Staline celà surclassait toutes les vertus militaires.
C'est un peu comme Monty, qui avait la confiance de Churchill contrairement à Auchinleck ou Wawell. En beaucoup plus ubuesque.
Joukov, obtenait plus facilement les moyens nécessaires.
Amitiés *** / *** |
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