le Glossaire de Francis a trouvé : - | Honorable (et remarquable) Ldégiste du bord de la Vistule.
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : Non décidément de 13emeDBLE le jeudi 12 juin 2008 à 15h15
Non, la mécanisation de l'armée, la création d'un corps parachutiste important dès l'entre-deux guerres, voire la conception de tanks transportables par air ne sont aucunement des preuves d'une volonté de Staline d'attaquer l'Allemagne.
Sans revenir sur les propos de GP sur la nature du terrain, où l'immensité des étendues et le climats rendent les routes à la fois indispensables et impossibles à entretenir, il convient de ne pas commettre une erreur en confondant les armes offensives "tactiques" et une capacité d'offensive stratégique :
- en vol, les chasseurs attaquent, et les bombardiers se défendent, pourtant une offensive stratégique suppose une force de frappe aérienne (donc des bombardiers).
J'ai choisi exprès un exemple théorique (étranger à notre propos), mais le choix de tactiques offensives (et d'armes correspondants à ces tactiques) n'a rien à voir avec une volonté d'aggression des voisins.
Donc, le livre que vous citez est une démonstration à sens unique originale mais loin d'êre probante, tant les exemples sont "orientés" dans le sens du propos voulu par l'auteur.
je le répète, on peut supputer sur telle ou telle action de 1939 ou 1940, mais une attaque de l'Allemagne en 1942, suppose dès 1940-41 un travail d'état-major, de préparation, de simulation, de planification dont on n'a aucune trace (Staline n'est pas Mussolini qui ordonne des attaques du jour au lendemain au mépris de toutes les contingences liées à la préparation d'opérations militaires).
C'est moins du scepticisme que du réalisme et du bon sens...
Cordialement,
CM *** / *** |